La grandeur d’une nation se mesure à la prospérité de son peuple
La grandeur d’une nation se mesure à la prospérité de son peuple, pas à la richesse de ses dirigeants.
Catherine la Grande, impératrice des Lumières, a modernisé la Russie par la culture et les idées.
Je l’ai découverte en 2006, lors de l’exposition présentée au Musée des beaux-arts de Montréal, en son honneur. J’ai découvert la femme, l’histoire, l’audace et l’assertivité d’une grande leader.
Femme de pouvoir et de vision, elle a su transformer son époque sans renier son intuition politique. Elle correspondait avec les philosophes et croyait à la force de l’éducation.
La grandeur d’une nation se mesure à la prospérité de son peuple, pas à la richesse de ses dirigeants.
Je ne régnerai jamais par la peur. Un royaume bâti sur la terreur s’effrite toujours.
Il faut haïr très peu et pardonner beaucoup.
Une femme au pouvoir ne doit rien devoir à personne, surtout pas aux hommes.
L’éducation est une arme plus redoutable que la guerre.
J’ai lu Voltaire la nuit pour mieux gouverner le jour.
Les réformes sont les armes des esprits courageux.
J’ai hérité d’une couronne ; je me suis forgée un empire.
Mon genre ne limite pas ma grandeur.
Il faut être audacieux pour régner dans un monde fait pour vous écarter.
Cette première discussion nous permet d’apprendre à se connaître, s’apprivoiser.
Un échange authentique pour découvrir les possibilités de collaborer,
de réfléchir autrement.