L’échec n’est pas opposé au succès, il en fait partie
L’échec n’est pas opposé au succès, il en fait partie.
Simon Sinek est un auteur, conférencier et expert en leadership américain-britannique, né en 1973 à Wimbledon, au Royaume-Uni. Diplômé en anthropologie culturelle de l’Université Brandeis, il a débuté sa carrière dans la publicité avant de se consacrer au coaching en leadership. Il est mondialement célèbre pour son concept du « Golden Circle » exposé dans son best-seller Start With Why (2009), qui invite les entreprises et les leaders à commencer par définir leur raison d’être profonde pour inspirer leurs équipes. Son TED Talk How Great Leaders Inspire Action est l’une des conférences TED les plus visionnées au monde, rassemblant des dizaines de millions de vues. Simon Sinek explore comment les leaders authentiques créent confiance, loyauté et engagement en communiquant avec un but clair et sincère. Il a publié plusieurs autres ouvrages influents, dont Leaders Eat Last et The Infinite Game, et a fondé The Optimism Company, une plateforme dédiée au changement positif en entreprise. À travers ses écrits et interventions, il promeut un leadership humaniste centré sur l’inspiration, l’innovation et un impact durable.
L’échec n’est pas opposé au succès, il en fait partie.
Avec de bons leaders, on a l’impression de travailler les uns pour les autres – pas seulement pour l’entreprise.
Le succès d’une équipe dépend de la confiance.
Travailler dur pour quelque chose qu’on ne supporte pas s’appelle du stress. Travailler dur pour quelque chose qu’on aime s’appelle de la passion.
Le but n’est pas d’être parfait à la fin, mais de s’améliorer chaque jour.
Le succès, c’est aimer ce que l’on fait.
Lorsque vous connaissez votre “pourquoi”, vous pouvez supporter presque n’importe quel “comment”.
Une culture d’entreprise saine commence par des relations humaines saines.
Le rôle d’un leader n’est pas de faire le travail des autres, mais de les aider à le faire eux-mêmes, à réussir au-delà de ce qu’ils croyaient possible.
Le leadership n’est pas une excuse pour faire moins. C’est une responsabilité pour faire plus.
Cette première discussion nous permet d’apprendre à se connaître, s’apprivoiser.
Un échange authentique pour découvrir les possibilités de collaborer,
de réfléchir autrement.